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 ab. Can't touch this (Arne א Klaehr)

Vanka
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 Sujet: ab. Can't touch this (Arne א Klaehr)   posté le 12.03.18 4:29

Can't touch this
La salle était bondée. Un soir de grande fréquentation où clients installés se voyaient couverts de breuvage, bectance et serveuses leur permettant de se régaler les yeux en prime. Je détestais ces regards, ces sourires en coin. Je détestais cet endroit... ce qu'il faisait de moi. Mais j'en avais besoin pour vivre. Pour espérer rester à la capitale et tenter une énième fois de retrouver ma sœur. Ce soir était l'un de ces soirs où j'en venais à croire que cette quête était impossible. Que peut-être elle était bien loin. En vie ou non. Peut-être n'avait-elle même jamais existé... Par tous les dieux, comme j'aimerais savoir si toutes ces peines valaient le coup... Si je venais à croire que ceci était vain, je ne pensais pas pouvoir persévérer. Ça me détruirait... Subrepticement, j'obtiens d'un des hommes du comptoir un verre d'alcool. Un de plus pour tenter de survivre à une soirée de plus.

Ce n'était pas suffisant. Ça ne le serait jamais. Certains soirs je partageais l'opium que ramenaient les clients - ou plutôt qu'ils parvenaient à acheter à Eckart - ça m'aidait à me détacher de ce qui se passait dans cet établissement. De ce que j'y faisais. Le bruit, la foule, les sourires forcés, ces mains qui se hasardaient à m'intercepter à chaque aller-retour... Combien de temps allais-je devoir subir tout ceci ?

À mes débuts, je passais mon temps à nettoyer les tables en fermeture. À gratter le sol pour enlever les salissures. À faire la vaisselle, préparer pour le lendemain. Ranger, nettoyer, c'était innocent. Puis un contre-temps : il fallait remplacer une serveuse. Puis un autre soir, et ainsi de suite. Jusqu'à un soir où par l'ivresse de l'atmosphère on me demanda de chanter et je le fis. Alors d'autres soirs je devais chanter pour ceux qui payer. Puis vint les danses lascives et les regards insistants d'Eckart pour que je fasse ce qu'on me demande ; ce qui lui rapportait de l'argent. Comme cette première fois où j'avais dû rejoindre un homme à l'étage. Eckart m'avait susurré que si je me montrais docile, alors ma solde doublerait. Je n'étais payée que par nature, à être autorisée de dormir, manger et m'habiller à La Maudite. Là j'allais gagner de vraies couronnes. Innocemment, ne comprenant pas ce qui m'attendrait là-haut, j'étais montée. Eckart s'était montré rassurant, alors j'étais restée confiante. Ce n'est qu'une fois les mains de cet inconnu sur moi, enlevant mes vêtements alors que je m'y refusais, que je compris. Que je compris ce que faisaient les filles à l'étage des chambres. Ce que j'allais devoir faire à mon tour...

Ces nuits étaient rares. Sans doute n'étais-je pas assez conciliante et docile pour qu'Eckart se risque à me placer aux côtés de ses régulières. Il m'offrait à ceux qui me choisissaient parmi les autres. Comme cet homme qui paraissait plus qu'intéressé. Plusieurs commandes passées, quelques couronnes en plus laissées sur la table pour mon compte. Eckart me demanda de lui proposer mes services. Ce que je refusai... mais son regard me laissait comprendre que j'étais bien naïve d'imaginer que j'avais le choix. Je soutins le regard du tenancier, déterminée à ne pas me laisser faire. Mais le client passa derrière moi, ne se privant pas de me coller et de tendre à Eckart un bourse conséquente. Ce dernier était visiblement ravi. Il assura au client que je saurai valoir les couronnes qu'il venait de débourser et nous invita à nous rendre à l'étage. Lui assénant un dernier regard noir, je me retournai vers le client avec un sourire aussi faux que l'étaient la bonne volonté dont j'allais lui faire preuve... Glissant ma main le long de son bras jusqu'à entrelacer mes doigts entre les siens. « Suis-moi », lui soufflai-je en l'entraînant vers l'escalier. Je maudissais chaque pas qui m'entraînait vers l'inéluctable dessein. Mais je n'avais pas le choix... Si je venais à faire marche arrière et qu'Eckart était amené à rendre l'argent, il me le ferait sévèrement payer.

Ça ne m'empêchait pas de le détester. De détester cet endroit. Ce client. Mais cette voix... Il prononça mon nom d'usage, tonnant comme le bruit de fers qui s'entrechoquent. Je me figeai et me tournai vers Arne. Ce que je faisais ? Posait-il sérieusement la question ? Le targuant d'un air dubitative, ne comprenant pas l'intérêt qu'il avait à me retenir, je pris peur à l'idée qu'Eckart vienne voir ce qui se passe. Le client s'interposa en rabrouant Arne. Mauvaise idée, pensai-je à raison. Cinglant, Arne lui intima farouchement d'aller se trouver une autre fille que moi, ce qui n'avait pas l'air de plaire le moins du monde au client... Il fallait que je calme le jeu avant qu'Arne ne m'attire les foudres d'Eckart. Je me plaçai entre eux, posant une main sur le torse de l'homme de main du tenancier. L'homme qui m'avait amenée ici. Enterrée ici... « Qu'est-ce qui te prend ? T'es ivre ? À moins que tu veuilles m'attirer des problèmes tu ferais mieux de pas t'en mêler... » Lui dis-je d'une voix basse. Bien que le client pouvait comprendre certains mots, j'espérais que le brouhaha parvenaient à couvrir ma voix pour que seul Arne entende. Le regard inquiet, résigné à faire ce qu'on me demandait. Je trouvais étrange qu'Arne cherche constamment à me tenir à l'écart de tout ça alors qu'il était le premier à mon arriver à me blâmer dès lors que j'opposais la moindre réticence à faire ce qu'on m'ordonnait.
‹c› Vanka


Dernière édition par Vanka le 13.03.18 12:37, édité 2 fois
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 Sujet: Re: ab. Can't touch this (Arne א Klaehr)   posté le 13.03.18 12:34

Can't touch this
Ma respiration s'accélérait, la tension montait. Le client allait pester. Eckart allait me le faire payer... Pourquoi Arne se mêlait-il constamment de ce qui se passait ? Certes, c'était son métier, mais j'avais parfois l'impression qu'il m'enchaînait, m'imposer sa façon de faire et de voir les choses. Il m'avait amenée ici, il m'avait attachée à cette taverne maudite, et il paraissait vouloir y contrôler le moindre de mes mouvements. Faisait-il pareil avec les autres ? J'en n'avais pas l'impression... Arne s'indigna avec sarcasme de mes dires, ne me laissant aucun autre choix que de le suivre lorsqu'il m'agrippa le bras. Je gémis d'une légère douleur, voulant exprimer mon refus mais ne devant pas créer d'esclandre ; j'essayai de me défaire de son étreinte en donna un coup sec avec mon bras mais ça n'eut pour résultat que sa force qui m'entraîna un peu plus loin. Eckart gueula depuis le comptoir. Voix qu'Arne détourna en demandant qu'il envoie une autre fille s'occuper du client. Stern. Je pestai intérieurement de l'intervention opportuniste d'Arne. Bien qu'il représentait à l'instant l'irruption salvatrice qui allait m'éviter de monter jusqu'en haut de ces escaliers et de devoir m'occuper d'un client, ça n'était pas une raison pour me réjouir : ce qui m'attendait si Stern refusait ou si elle ne convenait pas et que le client venait à reprendre sa bourse, je n'osais même pas imaginer la fureur d'Eckart.

Une porte fut poussée, puis une autre. Nous nous retrouvâmes rapidement dans l'office de l'arrière boutique. Un bureau où les bruits de la grande salle n'étaient que des échos étouffés. Où nous étions seuls. J'étais fébrile, légèrement tremblante par l'action et les conséquences qui allaient en découler. Une fois seuls, Arne fit tonner sa voix dans un grondement froid et défait. Depuis quand je montais dans les chambres ? Depuis que j'avais compris que si je voulais avoir une chance de gagner assez pour voir la couleur de mes couronnes en fin de semaine, il fallait que je le fasse. Je n'étais pas réellement persuadée que je finirai par gagner assez pour m'émanciper de cette taverne miteuse mais penser y croire me donner un peu d'espoir. Me laissait entrevoir une petite lumière au loin. « Entendus ?! M'indignai-je, désabusée. Tu crois encore que nous entendre suffit à détourner Eckart des couronnes qu'on lui donne ? Et quand bien même... j'ai besoin de cet argent, avouai-je en baissant les yeux et le ton. J'veux pas finir ma vie ici et sans couronnes jamais je ne sortirai d'ici alors ça arrive que... que j'accepte de monter », confiai-je avec une hésitation bercée par la honte dans la voix.

Penser à ces soirs et ces nuits passées sous les draps avec des inconnus. Pas toujours bien sur eux. Pas toujours charmants. Bien rarement élégants et respectueux. Ce n'était pas vraiment dans cet endroit que j'avais imaginé découvrir ces choses. Ni dans ce contexte. Je n'avais aucune aspiration sur ce plan mais je savais que par toutes les possibilités qu'il y avait de devenir femme, celle-ci était l'une des pires qui pouvaient arriver. Là où certaines filles y retiraient du plaisir, une fierté, appréciant d'être dévorées du regards et désirées, je ne ressentais cela que comme un poids, un voile sale et étouffant dont j'avais beau me débattre, impossible de l'enlever. À mes yeux, passer des heures à frotter les sols en haillons était plus honorifique que de gravir ces marches au bras d'un client. Mais le stupre dirigeait cet établissement. Et j'appartenais à cet établissement. À Eckart... Qu'Arne me fasse la morale, qu'il me gronde à l'idée que j'en vienne à me plier à la volonté des couronnes, du tenancier, ne m'aidera en rien. J'avais bien conscience de la dépravation qui me guettait et sans doute n'était-ce qu'une question de semaines avant qu'Eckart ne me range dans la catégorie des filles bonnes qu'à ça. Mais avais-je seulement le choix ? Je n'avais pas la carrure d'Arne. Je pouvais à peine effrayer un oiseau. Alors quelle solution avais-je ? Mes yeux revinrent timidement vers les prunelles perçantes et envoûtantes du tavernier.
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 Sujet: Re: ab. Can't touch this (Arne א Klaehr)   posté le 13.03.18 20:00

Can't touch this
Il m'arrivait de me demander ce qu'il attendait de moi, Arne. De vouloir essayer de le comprendre. Mais les rares fois où nous nous trouvions seuls à seuls, c'était lors de ces élans de colère, ces impulsions qui échappaient à ma compréhension. Il m'avait enterrée ici, forcée à me montrer obéissante pour m'éviter les foudres d'Eckart. Pour éviter que je sois renvoyée à la rue. Ou peut-être pour éviter qu'à travers moi, son nom ne soit entaché auprès du tenancier. Je n'étais pas un exemple... ce n'était pas de la mauvaise volonté, ni un manque de motivation, seulement un manque de considération et d'estime pour ce que je devais faire. Cependant, j'étais déterminée et n'étais pas prête d'abandonner. Même dans les pires moments, il y avait cette étincelle dans mon regard qui animait cette témérité qui me coûtait pourtant très cher...

L'impulsivité du geste d'Arne avait attisé ma colère. Une colère éphémère et passagère, sur le vif de cette façon qu'il avait de me traîner et de m'afficher une nouvelle fois face à Eckart et les autres. J'abhorrais ce côté paternel et protecteur qu'il m'imposait alors qu'il était celui qui m'avait lancé dans cette galère. Un paradoxe qui m'exaspérait au plus haut point. Je sursautai à son élan contre le mur, déviant mon regard pour me concentrer sur le sol, me retenant de déguerpir à toute vitesse. Ma poitrine se levait longuement à ma respiration haletante que je ne parvenais pas à calmer.Nos yeux se croisèrent à nouveau dans des éclairs froids qui me pétrifiaient et en même temps me donnait de plus en plus envie de le défier. C'était suicidaire et complètement insensé ; il aurait inévitablement le dessus sur moi. Ça m'enrageait car je détestais cette position de faiblesse... Il ricana en tonnant mon souhait comme un reproche : avoir de l'argent. Pourquoi ça l'étonnait ? Était-il vexé que je ne veuille pas pourrir ici comme lui le faisait ? Arne trouvait son compte à travailler pour Eckart. Où était le mien ? Ma vie dans cette taverne n'était qu'un dernier espoir, la seule chance que j'avais de ne pas être à la rue. Je n'étais pas là par envie mais par devoir. Il avait l'air de ne pas faire la différence... de ne pas vouloir comprendre que je veuille accélérer les choses pour parvenir à quitter cet endroit le plus tôt possible.

Continuant de s'énerver, Arne me gronda que si c'étaient des couronnes que je voulais, je pouvais venir me servir sur lui, que ça n'était pas une pratique qui me déranger : le vol. Je fronçai les sourcils et baissai les yeux, quelque peu décontenancée par ses sarcasmes. Je n'étais pas fière de mon bref passé de voleuse et culpabilisais d'avoir eu recourt au vol. À force de le fréquenter, j'en arrivais à occulter la gêne que cette période m'inspirait. Suivre Arne ici avait été un moyen pour moi d'éponger ma dette. La dette de l'affront que je lui avais fait. Et j'ignorais quand il allait considérer que j'aurais payé cette dette à laquelle je devais ajouter le fait qu'il m'avait sortie de la rue... Je levai les yeux au plafond en soupirant. Je lui devais ma place ici, loin de la rue. Une boucle bouclée : il m'avait sortie de la misère alors je devais lui obéir ici... même si ça allait me coûter les foudres d'Eckart. « À quoi joues-tu ? Lançai-je en essayant de ne pas m'énerver plus que de raison. J'vais pas prendre ton argent... l'intérêt de m'avoir amenée ici c'est justement pour que je n'ai plus à voler. Tu devrais être content que cherche un autre moyen d'avoir des couronnes, non ? » De la provocation, rien de plus... Voler et se prostituer, c'étaient deux très mauvaises façons de gagner de l'argent. Dans la première, on faisait du tord à quelqu'un. Dans la deuxième, je ne faisais de tord qu'à moi-même...

Passer des jours et des semaines à ne rien pouvoir manger, à rester dans le froid et l'humidité, la crasse et le mépris des hautes gens, ça m'avait fait toucher le fond. Un fond qui m'avait laissée saisir la première main qui s'était tendue vers moi. Malgré ma situation, je ne regrettais pas d'avoir saisi cette main. Je déplorais cependant les sacrifices que cette vie qu'Arne m'offrait me demandaient. Ce n'était pas directement lui, c'est vrai. Il m'avait tenue éloignée un certain temps d'Eckart et des hommes qui côtoyaient l'établissement. Je considérais qu'il faisait ça pour servir un intérêt, ignorant lequel. Voulait-il faire comprendre à Eckart que vu que c'était lui qui m'avait amener ici, j'étais à lui avant d'être à Eckart ? Souhaitant m'ajouter à sa panoplie à lui, être le seul à pouvoir disposer de ma personne en choisissant ce que je faisais, quand et avec qui ? Je ne lui prêtais pas de nobles intentions à mon égard bien que je constatais qu'il était le premier à me défendre et à souhaiter me préserver. J'étais naïve, mais pas à ce point... Corona m'avait appris quelque chose : les gens ne font que les choses qui leur apportent quelque chose, rien n'est gratuit, tout se monnaye et se paye. Avec des couronnes, ou parfois avec la vie d'une enfant sachant à peine marcher...
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